Dédé
Pambrun, de la gentillesse à revendre, mais pas que ça...
|
LE STADE
BAGNERAIS EN
DEUIL
Dédé Pambrun
nous a
brutalement
quitté à
l'âge de 39
ans.
Une maladie
foudroyante
a emporté en
quelques
heures un
copain, un
ami, un
frère de
rugby. André
Pambrun nous
a brutalement
quitté, un
samedi 27
juin, il
était 10h du
matin. Ce
bon Dédé,
dont
l'immense
gentillesse
n'était pas
une légende, est
parti à
l'âge de 39
ans, sans
prévenir.
Que c'est
dur à
accepter.
Avec son
copain Titi
Cazillas, il
était en
charge de
l'intendance
terrain du
groupe
Senior,
comme pour
être encore
plus près de
son Club de
toujours, et
des joueurs,
de ses
joueurs.
C'était là
qu'il se
sentait
bien.
L'amitié que
se donnent
les gens du
rugby est
sincère et
fidèle. Elle
lui avait
été donnée
par tous.
Dédé, cet
homme bien,
cet homme
bon, la
méritait,
tant ses
compétences,
son
dévouement,
et (encore
et toujours)
sa
gentillesse
et ses
qualités
humaines,
faisaient
l'unanimité
au sein du
Club, mais
aussi en
dehors. A
l'heure où
nous
écrivons ces
quelques
lignes, tout
le monde est
sous le
choc,
joueurs,
entraîneurs,
dirigeants,
et même les
supporters
du SB qui
manifestent
leur
tristesse
sur les
réseaux
sociaux. On
ne reverra
plus Dédé,
ni aux
entraînements,
ni dans le
bus des
joueurs lors
des
déplacements,
ni aux
matchs, ni
dans le
vestiaire, ni à
la troisième
mi-temps, ni
ailleurs,
sauf dans
notre
mémoire.
Car c'est
bien à cela
qu'il va
falloir
s'habituer.
"Tic" est
bien seul,
"Tac" est
parti ! (lire).
Le Stade
Bagnérais se
sent bien
seul aussi,
le cœur
broyé par le
chagrin, des
larmes plein
les yeux,
des images
plein la
tête.
Le Club
adresse ses
condoléances
à tous les
siens et
partage leur
peine.
Repose en
Paix, Ami.
Ndlr :
Les obsèques
ont lieu à
Asté, le
mardi 30
juin à 15h.
Qu'elle
est lourde à
porter
L'abscence
de l'ami
L'ami qui
tous les
soirs
Venait à
cette table
Et qui ne
viendra plus
La mort est
misérable
Qui
poignarde le
coeur
Et qui te
déconstruit
Il avait dit
un jour
Lorsque je
m'en irai
vers les
lointain
pays
Au-delà de
la terre
Vous ne
pleurerez
pas
Vous lèverez
vos verres
Et vous
boirez pour
moi
A mon
éternité
.../...
voir
"L'Absent"
Gilbert
Bécaud
|
|
2015-06-27 |
|